~ BELPHÉGOR (Antrim of Green Ireland) ~

Belphégor (Antrim of Green Ireland) L’Irish Wolfhound était le choix de mon mari, je n’en avais jamais entendu parler et encore moins vu.

C’est à une grande exposition à Lausanne, en 1982, avec une trentaine de chiens engagés et jugés par Betty Murphy - une grande spécialiste de la race - que j’ai vu mes premiers lévriers irlandais.

Je fus saisie et conquise, des chiens de cette taille, force et élégance dont il émane une si grande dignité et cette douceur dans le regard. Parmi les exposants il y avait Mr Mouligné avec O’Moloney Patrick et Mr Yves avec Ritheann, les meilleurs représentants de la race qu’on pouvait voir à l’époque en France et en Suisse.
Je n’ai jamais regretté ce choix !

En été 1983, nous avons pu aller chercher notre premier chiot, Antrim of Green Ireland de l’élevage de Mme et Mr Erath. Il avait 14 semaines et pesait 28 kilos. Le collier que nous avions apporté pour lui était beaucoup trop petit !

Même si l’on a été depuis longtemps « dans la race », le premier Irish Wolfhound reste quelque chose de particulier. Pour moi d’autant plus que je n’avais jamais eu de chien auparavant.

Quant à mon mari, il avait une tendresse particulière pour Belphégor (nous avions décidé à l’avance que notre premier chien s’appellerait Belphégor - tant pis pour Antrim…) et il dit toujours à qui veut l’entendre que ce fut le plus intelligent de tous ceux et celles que nous ayons eus. Ce qui est vrai.
Une petite anecdote pour l’exemple : nos chiens ont toujours vécu et vivent toujours avec nous dans la maison. Or, avec quatre Wolfhounds et un canapé à deux places, faites le compte… Lorsque les places étaient prises, y compris par nous, et que Belphégor souhaitait s’y coucher, il se mettait devant la porte-fenêtre et - faisant semblant d’observer quelque chose dehors - se mettait à aboyer pour demander à sortir. Naturellement tout le monde se levait pour se précipiter à sa suite, tandis que notre Belphégor se retournait tranquillement pour s’installer à son aise sur le canapé ainsi libéré. Futé, non ?

Aurore du Cayrou Assez rapidement, nous nous étions aperçus que Belphégor s’ennuyait avec nous, malgré notre présence constante et les promenades. Nous décidâmes donc qu’il lui fallait une compagne. Malgré la réservation d’une petite femelle auprès de l’élevage « of Green Ireland », nous avons craqué devant une portée de chiots de Mme et Mr Logier à la Spéciale de Romans et nous sommes rentrés avec la jolie Aurore du Cayrou. Tandis que nous étions très heureux, Belphégor boudait à mort et pour nous montrer qu’il n’était pas content du tout - c’est-à-dire jaloux - il s’installa dans la voiture et il a même fallu lui y apporter sa gamelle, sinon il n’aurait pas mangé. C’était un caractère, Belphégor ! Heureusement deux ou trois jours plus tard, la curiosité l’emporta sur la jalousie et il commença à prendre plaisir à sa compagnie. Quand, deux mois plus tard, je pus aller chercher Diona of Green Ireland, il s’était habitué à la présence féminine, alors une de plus…

Dilis of Green Ireland Une année plus tard, il nous a été proposé Dilis of Green Ireland, dont la propriétaire devait partir aux Etats-Unis. Elle avait 13 mois, un caractère très équilibrée, et elle s’est vite intégrée dans la meute.

Belphégor, Dilis, Aurore

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